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Ne res­tez pas seul(e) face à vos souf­frances et vos ques­tions sans réponse. Je reçois les adultes et les couples en psy­cho­thé­ra­pie à Vélizy proche Chaville. Je vous pro­pose de vous accom­pa­gner pour tra­ver­ser vos dif­fi­cul­tés à vivre, aimer et travailler.

Psychothérapie Vélizy Versailles Chaville Viroflay



Ce site est des­ti­né à vous pré­sen­ter mon acti­vi­té de thé­ra­peute mais éga­le­ment à répondre aux ques­tions que vous pou­vez vous poser si vous envi­sa­gez de com­men­cer une psychothérapie.

Séances de psychothérapie à Vélizy – Chaville

Je reçois les adultes en psy­cho­thé­ra­pie indi­vi­duelle et pour des thé­ra­pies de couples.

Mon cabi­net se situe à Vélizy, à la limite de Chaville, près de la gare de Chaville-Vélizy (RER C). Il est faci­le­ment acces­sible depuis toute la ban­lieue sud-ouest de Paris, à proxi­mi­té de Versailles, Viroflay, Meudon, Boulogne, Châtenay-Malabry, Sèvres, Jouy-en-Josas et Clamart (voir Contact et accès).

Je reçois de 9 heures à 20 heures du lun­di au ven­dre­di. Je pro­pose éga­le­ment des séances en visio mais seule­ment après avoir débu­té le tra­vail en face à face. 

Je pra­tique la Gestalt-thé­ra­pie, une forme de psy­cho­thé­ra­pie qui mobi­lise l’ensemble de la per­sonne dans ses dimen­sions intel­lec­tuelle et cog­ni­tive mais aus­si affec­tive, émo­tion­nelle et corporelle.

Cette thé­ra­pie faci­lite le chan­ge­ment par l’expérimentation : com­prendre ses dif­fi­cul­tés ne suf­fit pas à les sur­mon­ter, c’est pour­quoi je vous pro­po­se­rai d’explorer de nou­velles façons de faire et d’être. Progressivement, des chan­ge­ments se mettent en place et s’inscrivent en profondeur.

N’hésitez pas à me télé­pho­ner pour plus de ren­sei­gne­ments ou pour prendre un ren­dez-vous (voir Contact et accès).

4 questions sur la psychothérapie

Blouet psychothérapeute Vélizy Versailles Chaville Viroflay

Une psychothérapie, qu’est-ce que c’est au juste ?

Une psy­cho­thé­ra­pie est une rela­tion d’aide, c’est l’accompagnement d’une per­sonne pour amé­lio­rer son bien-être psy­chique et phy­sique ou c’est l’accompagnement d’un couple pour l’aider à (re)trouver un équi­libre satis­fai­sant. Une psy­cho­thé­ra­pie s’appuie en géné­ral sur une rela­tion inter­per­son­nelle dans un cadre sécu­ri­sant (confi­den­tia­li­té, bien­veillance, déon­to­lo­gie, enga­ge­ment mutuel…).

Une psychothérapie, pourquoi, pour qui ?

On se tourne sou­vent vers la psy­cho­thé­ra­pie dans un moment de crise dans sa vie affec­tive ou pro­fes­sion­nelle, mais une souf­france psy­chique chro­nique ou un symp­tôme récur­rent sont aus­si des rai­sons de se faire accom­pa­gner par un psy.

De même, une thé­ra­pie de couple peut aider à fran­chir un cap dif­fi­cile mais peut éga­le­ment per­mettre d’améliorer et d’enrichir la rela­tion conjugale.

Voici des exemples de rai­sons pour com­men­cer une psychothérapie :

  • Difficultés rela­tion­nelles (vie amou­reuse, sociale, pro­fes­sion­nelle…) : timi­di­té, échecs à répé­ti­tion, obsessions…
  • Dépression, déprime récur­rente, tris­tesse sans cause
  • Angoisse et anxié­té, stress exces­sif, peurs chro­niques, crises de panique
  • Souffrances au tra­vail, burn-out
  • Addictions (alcool, tabac, jeux vidéos…)
  • Phobies
  • Manque d’estime de soi, de confiance en soi, pro­blèmes d’image, affir­ma­tion de soi, syn­drome de l’imposteur
  • Conduites répé­ti­tives
  • Sentiment de honte
  • Solitude, repli sur soi
  • Difficultés sexuelles
  • Franchissement des grandes étapes de la vie (deve­nir adulte, prendre sa retraite, vieillir…)
  • Crise de vie (deuil, sépa­ra­tion, chô­mage, recon­ver­sion, retraite…)
  • Crise de couple, conflits conju­gaux (il faut alors s’in­ter­ro­ger sur le choix entre thé­ra­pie indi­vi­duelle et thé­ra­pie de couple)
  • Violences fami­liales ou conjugales
  • Questionnement exis­ten­tiel (quête de sens, finitude…)
  • Sentiment d’un manque d’épanouissement per­son­nel, mal-être, sen­ti­ment de vide, de manque d’énergie et de motivation…
  • Troubles du com­por­te­ment ali­men­taire (bou­li­mie, ano­rexie, ortho­rexie, pro­blèmes de poids…)
  • Insomnies, cau­che­mars récurrents
  • Troubles psy­cho­so­ma­tiques, dou­leurs sans causes identifiées
  • Troubles de la personnalité
  • Absence ou excès d’émotions
  • Traumatismes, stress post-traumatique
  • Difficultés à communiquer
  • Dépendance affec­tive, angoisse d’abandon ou de rejet, jalou­sie, emprise
  • Difficulté à faire des choix
  • Sentiment de ne pas pou­voir prendre sa place, mener sa vie, pro­cras­ti­na­tion excessive
  • Envie de trou­ver un meilleur épa­nouis­se­ment dans sa vie per­son­nelle et professionnelle

Comment se passe une psychothérapie ?

La durée et les moda­li­tés d’une psy­cho­thé­ra­pie sont très variables. Il existe des thé­ra­pies cor­po­relles, d’autres sont essen­tiel­le­ment ver­bales. En ce qui me concerne, je pra­tique la Gestalt-thé­ra­pie (voir aus­si ma pra­tique de la psy­cho­thé­ra­pie).

Choisir une psychothérapie et un psychothérapeute

Il existe un grand nombre de psy­cho­thé­ra­pies : la psy­cha­na­lyse, les méthodes com­por­te­men­tales, les psy­cho­thé­ra­pies « huma­nistes » – cou­rant auquel se rat­tache la Gestalt-thé­ra­pie… Chaque cou­rant a son inté­rêt mais l’essentiel reste que vous puis­siez trou­ver le psy, le thé­ra­peute qui vous convient per­son­nel­le­ment pour débu­ter le tra­vail.
Les orga­ni­sa­tions pro­fes­sion­nelles de la Gestalt-thé­ra­pie estiment qu’un pro­fes­sion­nel doit satis­faire à 5 cri­tères :
- Avoir lui-même fait une psy­cho­thé­ra­pie per­son­nelle appro­fon­die,
- Avoir sui­vi une for­ma­tion longue (théo­rique, métho­do­lo­gique et pra­tique) auprès d’un orga­nisme de for­ma­tion affi­lié à une fédé­ra­tion pro­fes­sion­nelle (Affop, FF2P)(voir liste des écoles sur cette page),
- Être en super­vi­sion per­ma­nente auprès d’un pro­fes­sion­nel qua­li­fié dans le domaine, et ce tout au long de sa pra­tique pro­fes­sion­nelle,
- Adhérer à une orga­ni­sa­tion pro­fes­sion­nelle (Affop, CEG‑t, FF2P, FPGT, SFG, SNPPsy) dotée d’une com­mis­sion et d’un code d’é­thique et de déon­to­lo­gie enga­geant ses membres et aux­quels les per­sonnes accom­pa­gnées peuvent avoir recours si besoin,
- Avoir obte­nu une recon­nais­sance par ses pairs, c’est-à-dire voir ses com­pé­tences recon­nues par une asso­cia­tion natio­nale de psy­cho­thé­ra­pie (CEG‑t, SFG, SNPPsy, FF2P), dis­tincte de l’école de formation.